On file dans le forêt, le Toyota est garé-caché à 500m des vagues sous les pins , on entend les sons de la battue aux chevreuils.
A l'arrivée en haut de dune, le soleil se léve, nous avons le sourire aux lévres face à ces conditions parfaites, et vierges de tout autre glisseur.
Ce matin là, nous avons surfé une trentaine de vagues parfaites chacun. Nous n'arrivions même plus à nous parler entre chaque série.
C'était comme le manège enchanté, il ne manquait que Zébulon et Pollux.
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